Rouffach, la ville aux miracles donnant entre autres, l'invisibilité.
Premier miracle.
Un récit retrace un miracle survenu durant le règne de Dagobert II, roi des Francs d'Austrasie : Alors qu'il séjournait au château d'Isenbourg en Alsace, le fils du roi ainsi que ses officiers chassaient sur les bords de l'Ill au sein du cloître d'Ebersheim. Un sanglier monstrueux fondit sur eux et désarçonna le prince qui mourut dans sa chute. Saint Arbogast, évêque de Strasbourg, rendit la vie au prince.
Dagobert II, reconnaissant, offre la ville de Rouffach au prince-évêque de Strasbourg. La ville connaît un fort développement, la guerre de Trente Ans arrête brusquement ce dernier. La ville est ravagée par les Suédois. Puis vint l’annexion de l’Alsace par la France, la ville retrouve la prospérité, notamment grâce à son vignoble, resté épargné par les guerres suivantes.
Second miracle.
Les œuvres du musée du Bailliage de Rouffach présentaient les richesses de l’ancienne capitale du Haut-Mundat. Dont les possessions de l’évêque de Strasbourg en Haute-Alsace, ainsi que des villages ayant composé le territoire placé sous l'autorité du bailli seigneurial... Pfuiiiiiit. Ces œuvres ont littéralement disparu corps et bien en un week-end. Cette disparition constatée ce lundi 29 juin 2020 est un miracle ou le rapt d'un esprit démoniaque ? Le tribunal judiciaire de Colmar nous l'indiquera ce 15 mars.
Troisième miracle.
Après le vidage du musée vidé en catimini, Le maire de la ville devient une entité invisible, même pour boire un schlouk.
Voici un mot envoyé aux organisateurs appréciant le riesling « Côte de Rouffach» et les bretzels qui vont avec. La missive signée de la secrétaire du maire, nous indique :
"Monsieur Jean-Pierre Toucas, Maire, vous remercie pour l’invitation au moment de convivialité autour du pot des 20 ans du trail le samedi 16 mars à 18h30. Il vous prie toutefois de bien vouloir l’excuser car il ne pourra pas être présent."
Comme à l'époque du roi Dagobert II, il est prévu de laisser une chaise vide pour que l'esprit du maire puisse l'occuper.
Troisième miracle et demi.
Les œuvres du musée du Bailliage de Rouffach présentaient les richesses de l’ancienne capitale du Haut-Mundat. Dont les possessions de l’évêque de Strasbourg en Haute-Alsace, ainsi que des villages ayant composé le territoire placé sous l'autorité du bailli seigneurial... Pfuiiiiiit. Ces œuvres ont littéralement disparu corps et bien en un week-end. Cette disparition constatée ce lundi 29 juin 2020 est un miracle ou le rapt d'un esprit démoniaque ? Le tribunal judiciaire de Colmar nous l'indiquera ce 15 mars.
Troisième miracle.
Après le vidage du musée vidé en catimini, Le maire de la ville devient une entité invisible, même pour boire un schlouk.
Voici un mot envoyé aux organisateurs appréciant le riesling « Côte de Rouffach» et les bretzels qui vont avec. La missive signée de la secrétaire du maire, nous indique :
"Monsieur Jean-Pierre Toucas, Maire, vous remercie pour l’invitation au moment de convivialité autour du pot des 20 ans du trail le samedi 16 mars à 18h30. Il vous prie toutefois de bien vouloir l’excuser car il ne pourra pas être présent."
Comme à l'époque du roi Dagobert II, il est prévu de laisser une chaise vide pour que l'esprit du maire puisse l'occuper.
Le bon roi Dagobert II, malgré sa vie intense et bien remplie, comme moine puis roi, ne vécut, selon les sources, que 27 ans.
Maxime Gruber
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