Un scoop de Maxime Gruber.
L’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Strasbourg perquisitionné !
Tout le monde s'y attendait... un peu... mais quand ?
Les policiers œuvrant pour le Parquet national financier (PNF) n'ont pas l'habitude de s'inviter en donnant l'heure du rendez-vous.
Les lecteurs avertis auront lu le prédécèdent article avec les informations complémentaires "L'IHU de Strasbourg jette trois bouteilles à la mer".
Le personnel hospitalier est pris en tenaille, entre les exclamations : « On va tous mourir ! » ou, « le PNF n'osera pas s'attaquer au professeur Marescaux», de leurs supérieurs. On peut louer le self-contrôle et leur gestion du stress. Admirables employés.Le concept de l’IHU : une structure d’excellence capable de générer de la recherche, de l’innovation, voir du soin d’exception est un très bon modèle, performant, visible. Ce serait une locomotive tirant la communauté scientifique et médicale vers le haut. Les IHU sont des exemples à suivre, sauf celui de Marseille… et pour des raisons similaires, celui de Strasbourg. Le professeur Benoit Gallix ayant remplacé au pied levé le Directeur général Jacques Marescaux pour cause de double emploi. Être directeur de IHU et de l'Institut de recherche contre les cancers de l'appareil digestif (IRCAD) faisait beaucoup pour un seul homme et des conflits d'intérêt pouvant émaner.
Cela agaçait surtout l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGÉSR), le professeur Marescaux dû s'y résoudre en sélectionnant un nouveau directeur général, le professeur Gallix, espérant de sa part une grande docilité. Grave erreur.
Courant 2022, le professeur Gallix attaque le premier en faisant un signalement au PNF.
Benoit Gallix soupçonnant un système financier, pour ne pas dire une pompe à fric dont la première victime est l’IHU de Strasbourg, fait un signalement au Parquet financier national. Crime de lèse-majesté ! Il sera renvoyé avec perte et fracas par le tout nouveau président du conseil d’administration de l'IHU, Philippe Richert, bon ami de Jacques Marescaux.
La vengeance est un plat qui se mange froid.
Quand on donne un os à ranger au PNF, il ne le lâche plus et le ronge jusqu'à la moelle. C'est le cas et avec une patience infinie. Bien sûr, si des fichiers existent, du moins, existaient, on a eu tout le temps pour les faire disparaitre... Mais, c'est là où le PNF peut trouver les failles et la vérité.
Quand on donne un os à ranger au PNF, il ne le lâche plus et le ronge jusqu'à la moelle. C'est le cas et avec une patience infinie. Bien sûr, si des fichiers existent, du moins, existaient, on a eu tout le temps pour les faire disparaitre... Mais, c'est là où le PNF peut trouver les failles et la vérité.
Le professeur Gallix doit suivre ce dénouement avec un grand intérêt, sa réponse du berger à la bergère.
Ce 12 mars 2024, 12 h 40, la perquisition commence.
La perquisition du parquet financier dans le cadre de l'enquête suite à la plainte de Gallix est en cours. Des voitures banalisées avec warning se garent puis disparaissent. Avec un peu de chance, elles se sont garées du côté du bâtiment de l'IRCAD, ainsi de son bureau, Marescaux s'il est présent, a tout lieu de les observer.
Les policiers en civil avec un brassard de « police » orange entrent. Leurs nombres ? Une douzaine, une vraie expédition.
Le personnel, surpris, est tétanisé, intimidé. Les policiers ne perdent pas de temps, ils savent que le directeur général actuel, " Christian Debry ", est parti déjeuner. Le premier contact se fera dans son bureau avec sa secrétaire et la directrice « administratif et financier". L'ambiance est forcément tendue.
Cinq policiers dans le bureau, les autres attendent à l'extérieur. Les premiers sont sur les archives papier et les ordinateurs. Un d'entre eux monte la garde, holster bien visible.
On peut dire que l'événement a été impressionnant pour le personnel.
Conclusion ?
Quelle histoire, quel pataquès ! D'autres informations paraîtront dès que possible.
Ce 12 mars 2024, 12 h 40, la perquisition commence.
La perquisition du parquet financier dans le cadre de l'enquête suite à la plainte de Gallix est en cours. Des voitures banalisées avec warning se garent puis disparaissent. Avec un peu de chance, elles se sont garées du côté du bâtiment de l'IRCAD, ainsi de son bureau, Marescaux s'il est présent, a tout lieu de les observer.
Les policiers en civil avec un brassard de « police » orange entrent. Leurs nombres ? Une douzaine, une vraie expédition.
Le personnel, surpris, est tétanisé, intimidé. Les policiers ne perdent pas de temps, ils savent que le directeur général actuel, " Christian Debry ", est parti déjeuner. Le premier contact se fera dans son bureau avec sa secrétaire et la directrice « administratif et financier". L'ambiance est forcément tendue.
Cinq policiers dans le bureau, les autres attendent à l'extérieur. Les premiers sont sur les archives papier et les ordinateurs. Un d'entre eux monte la garde, holster bien visible.
On peut dire que l'événement a été impressionnant pour le personnel.
Conclusion ?
Quelle histoire, quel pataquès ! D'autres informations paraîtront dès que possible.
Maxime Gruber
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