Deniers combats avant une dissolution qui ne veut pas venir…
Maxime Gruber
Le terme alsacien, "Frèch", signifie "effronté" ou "insolent" comme nos articles sans concessions.
Devinez qui vient ce lundi au CHU de Strasbourg ?
Sandrine Rousseau, inquiète de notre santé mentale, vient mettre de l’ordre dans nos pensées et tancer les coupables strasbourgeois et aussi parisiens.
Co-rapportrice, avec la députée Renaissance Nicole Dubré-Chirat, d’une mission d’information sur les urgences psychiatriques.
Sandrine Rousseau a cosigné une proposition de résolution déposée par des élus de la Nupes. Pour la création d'une commission d'enquête visant à « estimer les pertes de chances dues aux fermetures
des services d'urgence, des maternités et du manque de personnel ». Un langage ambigu, pour ne pas dire alambiqué. La politique, c'est difficile.
À noter que des colloques, dont celui l'avenir de la profession de psychologue, ont été organisés ce 31 mars 2023 à l'Assemblée nationale, suite à l'invitation de la députée.
Baigne-t-elle dans le monde de la psychologie ? Les diplômés en psychiatrie n'ont qu'à se brosser ? Visiblement, le militant psychanalyste « éloigné » depuis peu, Gérad Miller hante encore les pensées de certaines personnes de la Nupes.
On va donc s'occuper des urgences psychiatriques en les visitant. Les soignants, dont les psychiatres, et surtout l'administration de la santé, n'ont qu'à bien se tenir.
Le CHU de Strasbourg en mode « panique ».
Sandrine Rousseau fait son Tour de France des unités des urgences psychiatriques. Vu le comportement abrupt et un tantinet surréaliste de la députée, les responsables du CHU ne savent plus où donner de la tête. La situation catastrophique, financière et administrative, le manque de personnel, fait craindre le pire.
Le risque médiatique est majeur, l'arrivée du nouveau directeur général du CHU, le professeur Samir Henni, dont l'intronisation était annoncée ce lundi 26 février, serait décalée pour ne pas prendre de risques de se croiser dans un couloir. Un nouveau directeur général, cela se chouchoute. Inutile de se retrouver face à une adepte de la déconstruction. Chacun des deux a la même préoccupation, ne pas rater son entrée dans le CHU. C'est de la com !
Et, pourquoi l'EPSAN, acteur majeur du dispositif de la santé mentale dans le bas-Rhin, n'est pas pris en compte et sollicité ? Est-ce moins intéressant pour les salons parisiens ?
Une précurseuse dont on ne sait pas ce qu'elle devient.
Sandrine Rousseau suit-elle les pas de Martine Wonner ? Dans le domaine médical, il semblerait. Les mauvaises langues diront que leurs esclandres médiatiques étaient un signe. Rappelons-nous qu'en 2018, Martine Wonner avait aussi fait un rapport parlementaire sur la santé mentale. Que sont-ils devenus ?
“ « Nous avons fait le constat que la commune était dans l’impasse. Nous avons tenté des médiations, mais le climat était vraiment très tendu. Les deux derniers budgets ont dû être arrêtés par la préfète et l’hypothèse d’une démission collective, un temps évoqué » ne semblant plus d’actualité » « il nous a semblé que la seule solution était de redonner la parole aux électeurs. Ce qui permettra de ramener de la légitimité et de la sérénité ».
“ « Christine Gillmann a salué cette décision de la préfète, rappelant que « nous avions proposé une démission collective dont le principe avait pourtant été accepté par le maire avant de se raviser ».
“ « L’opposition avait décidé de voter systématiquement contre les délibérations proposées afin que le maire, mis en minorité, accepte de démissionner puis, dans un second temps, accepte cette démission collective. »
“ Elle donne deux coups de poing au maire et se met en position d’attaque les deux poings levés comme un boxeur ! Le maire précise qu’Odile Fuchs est licenciée en Kick-boxing.
“ La gendarmerie arrivée à la demande du maire viendra calmer cette scène de combat urbain. Le maire a une journée d’ITT, il a porté plainte.