Les « affaires » Marescaux. La loi du silence est
brisée. On nous écrit…
Parlons
de la carotte ! Jacques Marescaux aime la fête, comme Louis XIV, il doit en
être l’épicentre. Et, entouré de sa cour, ses courtisans capables de jeter leur
dignité aux orties pour plaire à leur maitre. Voici un courrier d’un lecteur
ayant son mot à dire au sujet de la fête dont Heb’di avait fait ses choux gras :
"Cher
Heb’di. J’ai lu avec gourmandise votre article sur la fête bling-bling qui a
réuni notre directeur général, notre président d’université et notre maître, le
professeur Marescaux.
Quelle
fête en effet !!
Réunis
à la Brasserie des Haras pour fêter les 100 ans de la faculté d’odontologie
strasbourgeoise, nos amis ont vu les choses en grand.
Le
bonheur se lisait sur le visage de nos trois compères ou plutôt devrais-je dire
sur le visage du maître et ceux de ses valets.
Et
l’on n’est pas dans le symbole !!!
Ce
sont bien notre directeur et notre président qui ont joué les valets et
serviteurs durant cette soirée tandis que Marescaux jouait le maître de
cérémonie.
C’est
ça la maresconie !
Notre
directeur semblait heureux, regardez-le sur cette photo ! “Une bonne tête de
ravi de la crèche” s’est exclamé mon cousin marseillais.
Le pauvre homme a bien essayé de quitter sa cellule alsacienne, mais en vain. Il faut dire que ses photos ayant fait le tour de France cela n’a pas vraiment séduit les recruteurs. Mais après tout, personne ne s’est plaint du service, à commencer par Marescaux, de là à lui savonner la planche… Marescaux est homme prudent, il sait qui il perdrait à la tête du CHU, il ne sait pas qui il gagnerait…
Pour
le réconforter, il lui a offert un voyage tous frais payés au Rwanda pour aller
voir un chantier… celui de l’Ircad local. Notre directeur est sûrement revenu
encore plus convaincu de la grandeur de notre maître et surtout des besoins de
son portefeuille.
Car
la maresconie c’est surtout le pognon !
En
effet, l’hôte de notre petite sauterie n’est autre que Marescaux lui -même.
Propriétaire de l’Ircad, lui-même propriétaire de 75 % de l’hôtel des Haras et
de sa brasserie. Notre homme ne perd pas le nord, à la fin, le pognon doit
tomber dans sa poche. Reste à savoir comment nos coquins ont fait payer la
soirée à l’université et à l’hôpital. Un petit coup de fil ? Entre businessmen
? Un appel d’offres truquées ?
Cher
Heb’di, je vous laisse ici, la prochaine fois, nous nous intéresserons à notre
président d’université dont les vœux de prêtrise notamment celui de vivre dans
la sobriété semblent bien loin depuis qu’il a rencontré notre maitre. Le voilà
d’ailleurs maintenant administrateur de l’Ircad (encore un beau mélange des
genres), en prévision sûrement d’une retraite dorée pour bon et loyaux services
rendus à notre maître."
Votre oncle Hansi
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