Avant propos

Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie. "Jacques Prévert"
Bienvenue dans le site de l’info la plus « frèch » d’Alsace ! Je vous propose des articles avec ma liberté de ton habituelle. Des journalistes sont aussi invités. Bien à vous. Maxime Gruber.

vendredi 1 mars 2024

Actualité : L'alsace, pays de l'autruche ensablée.

Notre rédactrice et pilier de feu Heb'di, Jehanne Fisché est encore plus furax, elle en veut aux alsaciens, aux alsaciennes et même aux hamsters géants d'Alsace.
Elle ne jure plus que par la Corse. L'ile des couillus selon elle.
Personne ne moufte dans le bureau, surtout moi avec mon futur article ayant pour simple sujet, les démocraties en prise avec les dictatures... Je fais dans le banal, quoi.
Je vous remets son article sur la pointe des pieds.
Bonne lecture.

Une nomination pontificale et une autre présidentielle.

L'Alsace, comme à son habitude, joue à l'autruche, la tête enfoncée dans les galets du Rhin.


Après de longs mois d'attente, le diocèse de Strasbourg et son centre hospitalier universitaire retrouvent des patrons. Pour l’archevêque Pascal Delannoy, ce sera l’Église catholique d’Alsace. Au professeur Samir Henni, tout simplement, l'hôpital régional.

Les deux cas présentent beaucoup de similitudes :
- Les deux institutions ont été gravement affectées par les erreurs de leurs prédécesseurs.

- L’urgence de rétablir la confiance et surtout de trouver un cap véritable dans des contextes des plus difficiles. Et, la remise en cause du Concordat et du droit local pour l’un et situation financière et organisationnelle toujours dramatique pour l’autre,

- Des candidats retenus après longues hésitations, aux parcours énigmatiques. Monseigneur Delannoy « un homme discret et pacificateur « pour un diocèse « plongé dans une crise sans précédent depuis trois ans » ; professeur Samir Henni, désigné, contre toute attente, par le président Macron, bien que sans aucune expérience de dirigeant hospitalier, alors qu’il pilotera un hôpital de 12 000 salariés dont 3 000 médecins avec un budget d’un milliard d’euros.

L’Alsace reste un territoire explicitement soumis, où les autorités spirituelles et temporelles, à Rome comme à Paris, font toujours ce qu’elles veulent. Hier comme aujourd’hui. La bulle pontificale pour l’un et le décret pour l’autre, publié au journal officiel.
Tous ici feront aussi mine de s'en réjouir, comme de bonnes autruches alsaciennes passives. Aucune personne n'interroge ou critique ces choix. Les Alsaciens et les Alsaciennes sont toujours serviles. Aux voix du Seigneur ou élyséennes. 
À l'heure où les élus Corses se réunissent avec le ministre de l'Intérieur, aussi ministre des cultes, pour peaufiner le statut d'autonomie de leur île, bientôt inscrit dans la Constitution de la République. Sans l'aide de personnes, ni de Rome ni de Paris, les Corses n'ont jamais mis genoux à terre. Ils dictent même leurs exigences et leur combat s’avère finalement fructueux.

Absit reverentia vero « Ne craignons pas de dire la vérité. »


Jehanne Fisché



mardi 27 février 2024

Un engagement peu engageant. Déjà la routine.

Non, non, je n'ai pas fauté. C'est Jehanne Fisché, pilier de la rédaction de Heb'di, qui a commis l'ultime parjure de dire du mal dans cette brève d'une équipe qui gagne à l'hôpital.
Je plussoie.
Un joli texte qui agacera la maire, car pas une seule fois, le mot "inclusif" n'a été employé.
Son mot fétiche.
Jehanne Fisché est toujours aussi rude et j'aime bien.


Un engagement peu engageant.


Déjà la routine.




Comme Jeanne n’autorise pas les commentaires sur sa publication du jour.
La rédaction de feu Heb'di, toujours aussi primesautière, souhaite au nouveau directeur général du CHRU de Strasbourg beaucoup de courage dans sa difficile prise de fonction. D’autant qu’il débute dans le métier de directeur général. La situation de cet établissement est particulièrement préoccupante. Toutes les alertes sont au rouge.
 
Le vice-président « historique « du conseil de surveillance, l’inénarrable Dr Feltz. a accompagné et supporté toutes les réformes successives qui ont tant plombé l’hôpital, les contrats de retour à l’équilibre financier (Cref), plan d’avenir et autres vilénies puisqu’en poste depuis bien plus d’une décennie. Combien de fois a-t-il retourné sa veste ? On ne les compte plus aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg. Depuis longtemps, les agents l'ont compris.

Jeanne, Alexandre et Samir, passez enfin à autre chose. On veut des soins de qualité, des moyens et des compétences professionnelles, pas de résultats financiers et plus de fermetures de lits. Sans parler des patients en tente devant les urgences.





Jehanne Fisché

lundi 26 février 2024

Plaine, archives du 16.01.2023, morne «Plaine» : OPA sur la mairie de Plaine ?

OPA sur la mairie de Plaine ?
 
Avant les élections municipales de Plaine : tandis que Christine Gillemann, tête de la liste dissidente, squatte à la mairie, l’ancien maire sortant est déclaré « persona non grata » dans le même lieu.

Morne Plaine.
Décidément, dans cette pittoresque commune composée de cinq villages et hameaux, a l’art de braver les interdits. Avouons que les acteurs de cette farce qui n’en finit pas, n’ont aucun sens du ridicule. Ils pensent pouvoir laver leur linge sale entre eux… à l’heure des médias dopés à l’Internet. Les rieurs sont de leurs côtés, toutefois la préfecture et les gendarmes regardent ailleurs comme s’ils devaient encadrer de grands enfants trop turbulents. Tout est permis, les interdits, l’éthique et la déontologie n’ont qu’à coucher dehors. Areuh !



De nouvelles élections municipales auront lieu ce dimanche 29 janvier 2023.
Suite aux altercations pouvant être violentes entre le maire, son équipe et le groupe dissident... les noms d’oiseaux, les beignes et les plaintes rendant la marée chaussée chèvre… un décret a eu lieu au conseil des ministres pour la dissolution du conseil municipal de Plaine ce 10 novembre 2022.
Un fait rarissime dans les Piennerés n’auront pas à se vanter.
Trois listes électorales sont sur les starting-blocks, toutes ont des comptes à rendre. D’abord, celle du maire sortant, Jean-Marc Chipon, la liste du groupe dissident menée par Christine Gillmann. Un troisième groupe, reliquat de l’époque glorieuse et très onéreuse de l’ancien maire de 2001 à 2020, Pierre Grandadam, a pour tête de liste une de ses ex adjointe : Patricia Simoni.
Le psychodrame municipal ou la tarte à la crème électorale va pouvoir continuer.
 
Christine Gillmann sort du bois
Toujours à la manœuvre depuis la dernière élection, elle avait rejoint la liste du maire sortant par la petite porte et en insistant beaucoup. Élue, sa vision de l’avenir de Plaine avec celle de son mari, ex-maire de Dachstein diffèrent de celle de Jean-Marc Chipon. Ce dernier désire éponger la dette municipale et empêcher toute progression immobilière, les ressources, dont celle de l’eau, ne pouvant le permettre. L’antithèse de madame et monsieur Gillmann. Vu les forts caractères des antagonistes, la scission de la liste majoritaire devenait inévitable. Plus avisée, Christine Gillmann envoyait au combat les membres de la nouvelle liste dissidente, sa liste, tout en supervisant de loin les affrontements avec le maire. Son mari Hubert Gillmann veillant au grain, tous les coups sont permis, on ne fait pas dans la délicatesse. La voilà donc enfin tête de liste pour les nouvelles municipales, on est loin de 2020 où elle quémandait d’intégrer le groupe du maire qu’elle honnit, actuellement.
 
La nature a horreur du vide, la mairie aussi, Christine Gillmann occupe l’officine désertée.
Voici cette journée du vendredi 13 janvier 2023 relatée par Jean-Marc Chipon, nous attendons avec impatience la version de Christine Gillmann, semblant avoir sympathisé avec la secrétaire de la mairie. Le maire sortant (pour ne pas dire sorti) va à la mairie, il est 14 h 40. Il désire préparer les futures réunions publiques. Diantre, la porte est fermée alors que les horaires précisent bien l’ouverture de 14 h à 17 h. Brusquement, l’éclairage de la mairie s’éteint. Mazette, la voiture de Christine Gillmann est juste devant établissement, jouxtant celle de la secrétaire de la mairie. Le plus étonnant est que Jean-Marc Chipon prétend voir les deux dames derrière les fenêtres…
L’ancien maire téléphone vainement… à la mairie.
Sapristi ! Au même moment, la sous-préfecture appelle Jean-Marc Chipon pour lui indiquer qu’elle venait tout juste de joindre… le secrétariat de la mairie de Plaine, pour modifier la liste affichée des candidats aux élections municipales. Deux poids, deux mesures ?
En pleine conversation téléphonique, une fenêtre de la mairie s’ouvre, la secrétaire sort la tête et lui indique qu’elle est en réunion. L’ancien maire demande si cette réunion est avec Christine Gillmann, la secrétaire répond par la négative, mieux encore, elle ne l’avait pas vu. Pourtant, Jean-Marc Chipon prétend que Christine Gillmann était juste derrière la secrétaire, fenêtre ouverte.
Alors, l’ancien maire fait le pied de grue devant la porte, ce qui devait passablement embêter les deux dames à l’intérieur de l’établissement. Vers 15 h 20, un panneau apparaît à la porte de la mairie : « La mairie sera exceptionnellement fermée de vendredi 13 janvier 2023, après-midi. »
L’administration peut être rude avec ses administrés ! 

Que se passait-il à la mairie de Plaine ?
Madame Gillmann prenait les mesures du bureau du maire pour le mettre à son goût ? Cherchait-elle des dossiers sensibles ? Ou tout simplement boire un verre, seule à seule, avec sa future amie et secrétaire ? Plaine est décidément une commune des plus mystérieuses…

Maxime Gruber

Plaine, archives du 14.11.2022, morne «Plaine» : Plaine, la rugueuse dans le bain d’acide ministériel.

Plaine, la rugueuse dans le bain d’acide ministériel.

Spécial vinaigre pour dissoudre le conseil municipal.

Cette commune des plus sympathiques, où la châtaigne fait sa réputation, ainsi que les doigts d’honneur en pleine cérémonie municipale, sans oublier la guerre des tracts à la prose indélicate, pouvait faire le bonheur d’un journal satirique. Le feuilleton est loin d’être fini.

Un 11 novembre 2022 sans armistice.
Commémoration victorieuse, elle sera toujours présente dans les annales de Plaine, qui avait pourtant donné plus que sa part en 14/18. Contacté, le maire de Plaine, Jean-Marc Chipon nous apprend avoir été prévenu le jour même par la préfecture. Il prévient à son tour les DNA de la dissolution du Conseil municipal. Il ne fera pas appel, estimant que cette remise à plat sera bénéfique pour arrêter la guérilla permanente de certains opposants. En théorie, le conseil municipal pourra ainsi repartir dans de meilleures conditions de travail.



Un acte ministériel exceptionnel.
 Plaine, morne Plaine. Heb’di a vraiment eu le nez creux ce 18 aout, en nommant l’article de ce jour : « Plaine : derniers combats avant l’armistice »…
Le destin a fait un magnifique pied de nez à la commune. Le Conseil des ministres a décidé ce mercredi de dissoudre le Conseil municipal de Plaine et le décret est paru ce vendredi 11. Et pourtant, la république et les ministres en ont vu d’autres !
Un maire maltraité physiquement, les noms d’oiseaux, des remarques oiseuses et même dans les tracts diffusés en catimini, en oubliant que l’on peut être filmé… Cela manque de grandeur, on fait du rase-mottes au niveau du sol, on est déjà dans l’humus… Mais, le pire, ce qui fait sonner le glas au Conseil des ministres, c’est le blocage des élus de l’opposition de toute décision du Conseil municipal.
Que dit le décret du Conseil des ministres ? « Considérant que les dissensions qui existent au sein du Conseil municipal de Plaine entravent l’administration de cette commune, que les solutions de démission collective ont été étudiées et rejetées par les élus. Que les diverses tentatives de médiation à l’initiative de la préfète du Bas-Rhin n’ont pas permis de mettre un terme à ce dysfonctionnement et que les voies d’une réconciliation et d’un retour à un fonctionnement normal du Conseil municipal sont désormais irrémédiablement compromises »… 

Une décision amère dont la première victime est la démocratie.
Ce comportement de gougnafiers de certains élus reste intéressant, aucune concorde pour sortir la commune de l’ornière, au contraire, on accentue le trait déjà caricatural. Victoire rigolarde pour les uns, défaite aigre pour les autres… Il n’y a pas quoi pavoiser, Plaine est dorénavant connue dans tout l’hexagone et pas en bien. Cloche merle est à côté, une ravissante comédie des plus légères.
Un échec de la municipalité, de la préfecture se prenant trop pour Ponce Pilate… entérinée par le Conseil des ministres. Certains au lieu de faire le beau ou la belle en se voyant déjà à la tête de la municipalité devraient se mettre un sac sur la tête. Shame ! Shame ! Shame ! Un événement, une dissolution des plus honteuses, une honte pour la démocratie.

L’élection de tous les dangers.
Il ne faut pas être devin pour savoir que les comportements « borderlines » de certains élus, vont continuer, voire s’amplifier. La nouvelle campagne électorale va être saignante, la concorde de la république ne semble pas être une priorité.
Combien de listes vont se présenter aux nouvelles élections ? Deux ? Trois ? Plus encore ? Paradoxalement, tout est permis dans cette commune de mille habitants.
Le maire sortant, Jean-Marc Chipon est partant pour un nouveau mandat. Malgré le veto systématique de toute action municipale par cette nouvelle opposition, il estime avoir rétabli la situation financière de la commune. Un challenge obtenu malgré ces élus prêts à sacrifier les intérêts de la commune pour la leur. Cette opposition est bien sûr sur les starting-blocks. Si elle a pour l’instant montré son pouvoir de nuisance, pourra-t-elle se refaire une virginité et prétendre être enfin constructive ? Aux électeurs de décider !
Une troisième liste ? On verra bien… Une liste avec l’ancienne équipe municipale antérieure à Jean-Marc Chipon ? Son passif sur la dette de la commune devrait la laisser dans sa retraite bien méritée.
Une réconciliation ? Vu les personnages et leurs outrances, il faudra un miracle, le Conseil des ministres et la préfète n’y croient pas une seconde, mais il faut bien jouer le jeu et surtout la montre.
Peut-être que certains déchaînés se lasseront ou s’annihileront entre eux, au futur Conseil municipal de retrouver un semblant de démocratie efficiente.

Qui vivra verra !
Mais, Heb’di est persuadé qu’il aura encore des perles à vous faire partager…
Pour l’instant, de nouvelles élections auront lieu dans un délai de trois mois maximum, avant le 10 février prochain. Le sous-préfet de Molsheim va mettre en place une délégation spéciale pour gérer les affaires courantes de la commune.

Maxime Gruber

Plaine, archives du 18.08.2022, morne «Plaine» : derniers combats avant l’armistice.


Plaine : derniers combats avant l’armistice.

Exsangues, les conseillers municipaux transformés en « ninja warrior » déjantés continuent leur guerre de tranchées en attendant le coup de sifflet de la préfète. L’armistice sera proclamé ? La dissolution du Conseil municipal sera-t-elle effective ? Pas encore gagné pour les dissidents… 

Pourquoi pas gagné ? Cette dissolution n’est pas à l’ordre du jour des conseils des ministres…

Une dissolution d’un Conseil municipal reste exceptionnelle et une solution de dernier recours. Les conditions à remplir pour une telle action ne sont pas réunies pour Plaine. La gestion financière est bonne, seul point noir : le comportement de gamin de certains élus s’obstinant à voter systématiquement non à toutes les initiatives de la mairie.




Quel pataquès !
Des dissidents venant du même groupe municipal que le maire, dont ils voulaient la peau de ce dernier, disons plutôt, sa démission de premier magistrat de la commune de Plaine. Pas de chance, le maire, Jean-Marc Pichon, refuse de démissionner. Pourtant, les factieux ont essayé la manière forte pour le faire changer d’avis. La première adjointe, et aussi dissidente (oui, c’est compliqué.) fit un cours de close-combat à son maire sans qu’il soit franchement d’accord. Après les torgnoles, nos séditieux et majoritaires au Conseil municipal bloquèrent… le conseil en votant « niet » à toutes les propositions. La démocratie n’en sortie pas grandie et les initiatives pour régir la ville aussi. Et, n'oublions pas les doigts d’honneur pendant les commémorations devant le maire, des bris de vitrine d’un membre de la famille du premier élu… du chantage envers les élus fidèles au maire. Toute la panoplie pour essayer de flinguer un Conseil municipal, rendre la commune hors de contrôle. Bizarrement, les chiffres eux ne trompent pas, la gestion de la commune est bonne.



Une OPA sur la dissidence ?
À défaut d’avoir réussi à faire démissionner le maire. Le spectacle bas de gamme continue, on comprend mieux comment le groupe factieux est géré. Et, le doute n’est plus permis. La tête pensante, si on peut employer ce terme… est un couple entré par la petite porte. L’élue et adjointe est Christine Gillmann qui fit d’après le maire, des pieds et des mains pour entrer dans le groupe victorieux aux dernières municipales. Petite entrée avant de prendre en main la dissidence, aidée et orientée, toujours selon JeanMarc Chipon par son mari. Ex-maire de Dachstein, n’ayant pas laissé un souvenir impérissable en tant qu’élu, d’où son exil à Plaine.

Deniers combats avant une dissolution qui ne veut pas venir… 
Malgré une éventuelle proche fin des hostilités, et donc un éventuel prochain round électoral, les accrochages continuent. Le Conseil municipal du 28 juillet 2022 est en lui-même un cas d’école. Trois membres du groupe des dissidents étaient absents. Les vacances ? Certainement, mais la première adjointe fait partie des excusées ! Est-ce une indication sur l’ambiance entre les dissidents ? On le murmure… D’emblée, Christine Gillmann, refuse de signer le compte rendu de la séance du Conseil Communal d’Action Sociale (CCAS) du 16 février 2022, comme à l’accoutumée. Ambiance délétère, mais qui montre qui est la véritable tête de liste de cette nouvelle opposition. Mieux, le groupe opposé au maire a tracté, avant le conseil, un flyer dans lequel était notifié : « La maison de retraite ne sera pas reprise et va fermer », document signé par l’ensemble du groupe dissident. Le maire s’indigne, pour lui, la fermeture de l’établissement n’est ni d’actualité, ni envisagé. Le maire explique un détail troublant, la séance ayant débuté vers 17 heures, Christine Gillmann sort de la salle du Conseil municipal et envoie un SMS au maire à 17 h 12 : « Toutes les décisions seront retoquées, comptez sur moi. ». On pourrait se croire dans une cour de maternelle.

Et, en cas de dissolution… les futures élections !
Le maire de Plaine, sortant, va-t-il se représenter pour un autre mandat ? C’est certain ! Le duo Christine et Hubert Gillmann faire leur liste ? Ce serait la consécration de tout ce travail de sape envers le conseil municipal. La première adjointe Odile Fuchs ayant compris tardivement et grâce au sous-préfet et Heb’di qu’elle était uniquement le faire valoir de Christine Gillmann. Va-t-elle faire une liste dissidente à la liste dissidente ? La rumeur locale le dit…


Maxime Gruber

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